French Story

[James Moody]

Hello,

 

I have written a story in French that needs minor corrections.  The problem is, of course, I don't know what those are, or how to make my writing sound more "natural".  So if you have a few minutes and would like to help me out by proofreading my work, I would be immensely grateful.  It follows.

ps: I know I'm not winning the Nobel Prize in Literature anytime soon, but writing helps me learn, so hey.

 

James

 

L'Homme Dans Le Cafe

C'était fin d'après midi dans un petit café parisien.  Un homme assis à une table dans le coin, en regardant par la fenêtre.  Il pleuvait dehors.  Il portait un imperméable noir, un bouton de chemise blanche, pantalon noir et des chaussures en cuir marron.  Il fumait une cigarette et ses yeux bougeaient, comme si comme un loup, en cherchant les visages des gens qui passent par l'extérieur.  Il portait une montre en or.  Son visage n'avait pas été rasée depuis plusieurs jours.  En face de lui sur la table il y avait une bouteille de bière (à moitié vide) un cendrier avec plusieurs cigarettes en elle, un carnet noir, et un téléphone portable.  Il était assis, immobile, regardant. En ecoutant.  Les verres et les couverts s'entrechoquaient.  Une serveuse prononcé un commentaire désinvolte à son collègue.  Quelqu'un rit.  Quelqu'un toussa.  Les gens allaient et venaient.  La pluie continuait.  Une femme est venue dans la porte.  Il s'est déplacé le corps légèrement, en tournant pour regarder sans qu'il soit évident qu'il avait changé son point d'attention, qui était maintenant pleinement sur elle.  Elle ôta son foulard et fermé son parapluie.  Elle a déménagé vers lui, regardant vers le bas, et prit la chaise en face de lui.

 

"Donc, nous voici à nouveau. " elle a dit.

 

«Oui.»

 

«Tu l'as?»

 

«Bien sûr.»

 

«Bon.  Dans un monde d'incertitude, il est bon de savoir qu'il ya des gens fiables. »

 

«En effet.»

 

Elle a ouvert un sac à main en cuir brun et il a tenu à ses côtés, sous la table.  L'homme enlevé un petit lecteur flash de sa poche et il a chuté po.

 

«Il y a quoi ensuite?» Il a dit.

 

"Il y aura quelque chose.  Il ya toujours.»

 

Une serveuse est venu, souriant et poli, mais la femme était déjà à se lever pour partir.  L'homme fumait sa cigarette, regardant par la fenêtre.

[Erwan]

C'était la fin d'après midi dans un petit café parisien.  Un homme était assis à une table dans un coin; il regardait par la fenêtre.  Il pleuvait dehors.  Il portait un imperméable noir, (un bouton de) une chemise blanche, un pantalon noir et des chaussures en cuir marron.  Il fumait une cigarette et ses yeux bougeaient, comme ceux d' un loup, en examinant les visages des gens qui passaient à l'extérieur.  Il portait une montre en or.  Son visage n'avait pas été rasé  depuis plusieurs jours.  En face de lui sur la table il y avait une bouteille de bière (à moitié vide) un cendrier contenant plusieurs mégots de cigarettes , un carnet noir et un téléphone portable.  Il était assis, immobile, regardant, écoutant.  Les verres et les couverts s'entrechoquaient.  Une serveuse lançait un commentaire désinvolte à son collègue.  Quelqu'un ri t. Un autre toussa.  Les gens allaient et venaient.  La pluie tombait toujours.  Une femme franchit la porte.  Il a légèrement changé de position,  se tournant pour la regarder sans qu'il soit évident qu'il ait dévié son regard, qui était maintenant pleinement sur elle.  Elle ôta son foulard et ferma son parapluie.  Elle s'est déplacée vers lui, regardant vers le bas (It's French, but I don't understand what you mean by that), et prit la chaise en face de lui.

 

"Donc, nous nous rencontrons de nouveau. " dit-elle.

 

«Oui.»

 

«Tu l'as?»

 

«Bien sûr.»

 

«Bon.  Dans un monde d'incertitude, il est bon de savoir qu'il y a des gens fiables. »

 

«En effet.»

 

Elle ouvrit un sac à main en cuir brun et le tint près d'elle, sous la table.  L'homme prit un petit lecteur flash de sa poche et il a chuté po (not French).

 

«Il y a quoi ensuite?» dit-il.

 

"Il y aura quelque chose.  Il y a toujours quelque chose.»

 

Une serveuse arriva, souriante et polie, mais la femme s'était déjà levée pour partir.  L'homme fumait sa cigarette, regardant par la fenêtre.

[James Moody]

Merci beaucoup, Erwan.