I wasn't sure where to post this...It's more a question of style of writing in French, not just errors of grammar or dictionary.
When I did AL French 10 years ago I was told (without explanation) that my style was English not French...
This is a piece of work I did for an evening class in Bromley. If anyone has the time to read it, am I guilty of poor style and if so why? Minor question. Should I have used degats and not dommages.
Apologies for les ordures...
LE CAMBRIOLIAGE
« Oh MERDE ! Pute de bordel ! »
« Quoi ? Qu’est-ce que s’est passé ? »
« Regarde – cette fenêtre-là ! «
« Quoi ? »
« C’est cassée, c’est tout, quoi ? Attends-là – tiens garde, ma chère, c’est possible il y a un voleur dans la maison ou dans le jardin. »
« Mon Dieu - un Voleur ? »
« Oui, un voleur – et tu dois téléphoner la police immédiatement ! ALLEZ »
Nos deux, nous avons eu passé le soir chez nos amis, qui demeuraient au village de Knockholt, pour fêter leur quarantième anniversaire de mariage. Et à minuit nous avons été rentrés, très contents et très fatigués !
Je suis entré dans la maison. C’était toute tranquille. Mais certes, il y avait eu un cambriolage. La télévision, l’ordinateur, le lecteur de DVD, le « Wii », mes appareils numériques, tout avaient disparu. Partout le séjour, il y avait des dommages. Les verres avaient été cassés et les tessons étaient éparpillés partout. Sur les murs, un voyou avait écrit des ordures. Le tapis a été taché avec je ne sais quoi et d’ailleurs je ne voulais pas savoir. Quelques chaises ont été renversées. Partout il y avait des bouteilles vides de bières
Qui l’avait fait ?
Je ne savais pas.
Et donc, avec un grand bruit de sirène est arrivée la police, y compris un sergent et un flic.
« Vous avez perdu quoi exactement » m’a demandé le flic.
J’ai répondu « Il me manque beaucoup de trucs – les trucs de divertissement comme la télé, et en plus, mes vins fins, les bijoux, (incluant les diamants, les perles flues, les bagues en or, des colliers), mes cartes de crédit, et beaucoup de l’argent. Tous comme ça.»
Il me fallait de noter les tous en grand détail, avec leurs valeurs. Mais tristement, ce que me faisait la plus grande détresse, c’était leur valeur sentimentale.
« Vous avez un assurance contre cambriolage? » m’a demandé le flic.
« Bien sûr ! » ai-je répondu. « Mais en ce moment, c’est aucun problème, c’est ma femme qui sera le problème... »
Et nos deux, nous avons tourné lentement en écoutant ses sanglots. Et voilà, ma femme, en désespoir totale, s’etait écroulée par terre …
Thank you somebody!